Kompil, Galerie Dominique Lang, Dudelange 2013
Daniel Daniel réalise des numéros hors du commun en quelques tours de manipulation plastique. Des arbustes murmurent, des sous-bois tremblent, des nains multicolores font apparaître des cœurs fraîchement cueillis. Daniel Daniel raconte des histoires à dormir debout, à veiller couché, avec un peu d’eau colorée, des métaux à moteur, des papiers filmés. Cela fait plus de cinquante ans qu’il a pris un aller simple vers un pays inventé de toute pièce à bord du train fantôme qui tourne sans cesse dans sa tête. (F.L.)